samedi 24 février 2018

Permanence pour les travailleuses et travailleurs sociaux

Bourse du Travail de Saint-Denis

Permance pour les travailleur.ses sociaux. 
Se défendre et lutter.
Accueil tous les 2e mardi du mois de 18h30 à 20h30.
A la Bourse du Travail de Saint-Denis (93)
Salle 304, 3è étage
9 rue Génin
(métro porte de paris)

www.rezo-93.blogspot.fr
06.74.72.93.67 
Facebook : Rezo social 93



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Vous voulez défendre vos droits sur votre lieu de travail.
Vous voulez sortir de l’isolement et construire un rapport de force.
Vous voulez obtenir du soutien ou informer sur une lutte.
Vous voulez que la lutte des classes ne se résume pas à un slogan.

Travailleuses, travailleurs, étudiantes, étudiants
cette permanence est la vôtre

Dans le cadre de nos missions, nous intervenons au quotidien au service des populations souvent les plus précarisées. Nous sommes également considérés par nos employeurs comme des esclaves corvéables à merci et des agents à la solde de nos hiérarchies ou de la police 
Salaires bas, contrats précaires, pressions diverses dans les relations employeurs-salariés. 
Parce que tout cela est une réalité, nous vous proposons de construire ensemble une solidarité de classe qui nous permettra de lutter pour nos intérets.

Accueil tous les 2e mardi du mois de 18h30 à 20h30
A la Bourse du Travail de Saint-Denis (93)
Salle 304, 3è étage
9 rue Génin
métro porte de paris




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mercredi 10 janvier 2018

Commission d'animation permanente de la mobilisation du travail social, le 8 janvier 2018



Suite aux mobilisations et Assemblées Générales de travailleurs sociaux en Île de France et ailleurs, une commission d'animation permanente de la mobilisation a vu le jour. Sa dernière réunion s'est tenue lundi 8 à la Bourse du Travail de Paris. Voici le relevé de décisions qui en est ressorti. N'hésitez pas à nous contacter via notre Facebook (cliquer ici) ou à écrire à l'adresse suivante pour plus d'informations : mobilisation-20_11_17@riseup.net
La prochaine réunion a lieu le mardi 30 janvier à 18h30 (réservation d’une salle à Bourse du Travail de Paris en cours)

Relevé de décisions de la commission mobilisation du travail social du 8 janvier :

- 40 participant-es - Mandatement d’une délégation pour rencontrer et converger avec le collectif des travailleurs du droit d’asile mardi 16 janvier à 19h à la Bourse du Travail - Mandatement d’une délégation à la réunion des EGATS mercredi 10 janvier à 19h dans les locaux du SNES PJJ - Mandatement d’une délégation à l’AG des hôpitaux en lutte mardi 23 après-midi à la Bourse du Travail - Participation sous la forme d’un cortège « Travail Social en lutte » à la marche des solidarités dimanche 21 janvier : https://paris.demosphere.eu/rv/59165 - Participation sous la forme d’un cortège « Travail Sociale en lutte » à la grève des EHPAD le 30 janvier - Organisation d’actions - Appel à une manifestation nationale le 14 février à Paris - Mandatement pour rédiger une proposition d’appel à la manif - Mandatement pour réaliser une affiche d’appel à la manif - Mandatement pour rédiger un communique d’actualités en cours - Proposition de participer au meeting du front social le 20 janvier Échanges : - Discussions sur la structuration de la commission (communication, mandatement, listes de diffusion et d’échanges, prises de décisions) - Discussions autour de la circulaire de Colomb contre les migrant-es. Les idées de photos et lettres sur les réseaux sociaux ne font pas consensus. Des pistes d’actions seront réfléchies en lien avec les collectifs engagés sur ce terrain

jeudi 4 janvier 2018

Le travail social en voie d'industrialisation ?


Le travail social serait en voie d'industrialisation. C'est-à-dire qu'il deviendrait un travail où les formations, les pratiques et procédures sont standardisées par des normes gestionnaires et sécuritaires. Un travail qui est en train d'être ouvert à des logiques d'efficacité, de concurrence, voire de rentabilité. Un secteur où l'on exploite la bonne volonté des salariés - et surtout des salariées - tout en leur versant des salaires largement inférieurs aux moyennes du reste du pays.

En observant ces tendances à l'industrialisation du travail social on a l'impression que les travailleurs et travailleuses de ces secteurs retournent petit à petit à la condition ouvrière d'antan... Ce qui n'est peut-être pas entièrement une mauvaise chose, si cela signe également le retour au mouvement ouvrier d'antan, qui a permis tant de victoires de classe, contre les hiérarchies et l'exploitation, contre l'Etat et les intérêts capitalistes. 

Lire à ce sujet l'intervention de notre camarade à l'Assemblée Générale du travail social, 
le 19/10, en cliquant ici.